Devant le jury composé de :
Stefan WIRTH | Professeur | Université Bourgogne – Franche-Comté | Directeur de thèse | |||
Valentine ROUX | Directeur de Recherche | Centre de Recherche Français à Jérusalem | Rapporteur | |||
Thibault LACHENAL | Chargé de Recherche | Université Paul valery | Rapporteur | |||
Louise GOMART | Chargé de Recherche | UMR 8215 – Trajectoires | Examinateur | |||
Fabrice MONNA | Professeur | Université de Bourgogne Franche-Comté | Examinateur | |||
Sébastien MANEM | ERC Researcher | Université de Leyde | CoDirecteur de thèse |
Résumé de la thèse en français : |
Les outils d’analyse et de modélisation manquent encore pour traiter la masse des données techniques collectées en contextes archéologiques. Une réflexion méthodologique considère conjointement les besoins des technologues dans la reconstitution de chaînes opératoires et les exigences des méthodes statistiques. Elle mène à la présentation d’une fonction de partitionnement de chaînes opératoires : PACO. Il s’agit d’un procédé automatisé sous le logiciel R, qui rend les analyses plus rigoureuses et plus rapides, mais également plus souples dans leur adaptation aux différents environnements chrono-culturels. Son fonctionnement, basé sur une règle simple, est accessible à tous. |
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